Étienne Vaunac | Granits - 4

L’été triomphe de l’automne — l’orage ne posera pas aux flamme la question de l’âtre pour le tenir captif de ses — fautes mais pour brûler notre amour dans le creux de la résine — le sang crépite jusqu’à ce que la neige le frappe — de langue — la mort attend patiemment que le temps presse
Tu peux rassurer le corbeau tu ne dors — pas tu es morte mais son vol — au-dessus de ce chaos de glandes qui de château tient lieu — qu’est-il sinon l’absence du monde dans le rêve mais à quoi — me sert-il d’avoir un cri de plus que — les pierres si les corbeaux se mettent à répartir — les physalies dans leurs clans