Christophe Fourvel à Mémoire de l’Avenir (Paris XX)

Christophe Fourvel, né en 1965 à Marseille, a publié des récits, des romans, des textes pour la scène et des livres en collaboration avec d’autres artistes. Il anime de nombreux ateliers d’écriture. Il souhaite faire du témoignage d’anonymes la matière de son prochain livre sur le thème de l’exil et de l’immigration. Le lire sur remue.net.

Bibliographie
Parmi ses plus récents ouvrages publiés sont : Le Mal que l’on se fait, prix Marcel Aymé 2014 (La Fosse aux ours, 2014), Une vie d’ours, livre jeunesse illustré par Janik Coat (le Baron perché éditeur, 2012), Bushi no nasake (La tendresse du guerrier) (éditions La Fosse aux ours, 2011), La dernière fois où j’ai eu un corps, avec des illustrations de Natalie Lamotte (éditions du Chemin de fer, 2011), Portraits de femmes magnifiques (Éditions L’Escampette, 2008).
Biobibliographie complète sur le site de la M.e.l.

Son projet de résidence
En partenariat avec des équipements tels que la Maison du Bas Belleville, Christophe Fourvel se propose d’animer des ateliers de dialogue et de création associant l’écriture à d’autres disciplines artistiques, des parcours culturels dans les musées et le quartier, des lectures et rencontres ponctuelles avec des artistes invités et les publics du quartier. Il initiera, entre autres, l’écriture d’un texte collectif à l’échelle du quartier.

La structure d’accueil, l’association Mémoire de l’Avenir, créée en 2003, réunit des artistes et des chercheurs autour d’un programme d’actions interculturelles utilisant l’art pour travailler sur l’identité, la mémoire, les origines. Son but est de transmettre, en particulier auprès des jeunes générations, un message d’apaisement, d’ouverture et d’acceptation des différences.

Le sentiment d’une grande liberté confiée à une belle solitude.
Le mal que l’on se fait

lecture musicale Christophe Fourvel et Leslie Kervella (vidéo) à Mémoire de l’Avenir

Finissages

une rencontre commune Christophe Fourvel / Patrick Chatelier qui étaient voisins de résidence à Belleville, dimanche 8 novembre à 16 h au Barbouquin

Deux rendez-vous
Le signe que cela commence

Ce n’est jamais le premier jour qu’une résidence commence. On ne sait d’ailleurs pas qui est responsable de la mise en scène. Comment le silence se fait, le clap résonne. Mais arrive un moment, c’est sûr, où nous devenons le personnage. (Christophe Fourvel à Mémoire de l’Avenir, Paris XX)

Début de résidence / Corps en exil

premier rendez-vous de la résidence de Christophe Fourvel, le 5 mars 2015